On le sait, nous devons diminuer notre consommation de viande et changer nos habitudes alimentaires si nous voulons protéger la planète et notre santé. Ça veut entre autres dire de manger moins de porc et de bœuf et plus de kangourou, d’animaux sauvages et d’insectes.
Parmi les animaux qui sont meilleurs pour l’environnement, il y a les chèvres sauvages, chameaux, chevreuils, lapins, sangliers, bisons, kangourous et émeus. A l’extrême, on pourrait aussi inclure les ânes, chats, chevaux et crapaud.
Non seulement ces animaux ont moins d’impact nocifs sur les pâturages, ce serait aussi plus éthique de manger des animaux sauvages qui ne sont pas gardés en cage et qui sont tués rapidement.
Des insectes aussi
On parle de plus en plus d’inclure des insectes, riches en protéines et faible en gras, dans notre alimentation. Vous avez peut-être même déjà mangé de la farine de ver, du sel de fourmi ou de la poudre protéinée au criquet au restaurant…
La solution du futur
Les scientifiques ne demandent pas qu’on élimine complétement le poulet, le bœuf et le porc, mais ils suggèrent qu’on diversifie nos sources de viande pour que notre alimentation soit plus viable.
Lisez de Euan Ritchie, Senior Lecturer in Ecology, Centre for Investigative Ecology, School of Life & Environmental Sciences, Deakin University et Adam Munn, Adjunct lecturer, UNSW Australia sur The Conversation.