Boris Charmatz, chorégraphe et directeur nous présente "Club Amour", qui sera joué au festival d'Adélaïde. Ce projet explore le désir et les relations humaines à travers des performances immersives, influencées par l'interaction avec le public. Parmi les œuvres mises en avant, "Café Muller" illustre avec intensité la mélancolie et le désir contrarié, montrant ainsi la résonance contemporaine des créations de Pina Bausch.
On se le prend en pleine poire.
Charmatz partage son enthousiasme pour la réception de "Club Amour" en Australie, où le public est connu pour son engagement. Il souligne que chaque représentation est unique grâce à l'énergie partagée entre les danseurs et les spectateurs.
Le public fait les pièces. Dans mon travail, ils sont juste à côté des danseurs